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Tourisme vert sur l’île de glace

30 juillet 2013
dans Reportages Monde
Tourisme vert sur l’île de glace
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LE TEMPS || Le Groenland, qui aspire à devenir indépendant, mise sur le développement de son tourisme «nature» en parallèle à l’exploitation de ses ressources minérales et énergétiques. Concilier ces deux approches sera le gage du succès de cette nation en devenir

«Où est ma glace? Je suis nostalgique des gigantesques icebergs qui emplissaient la baie de Disko», au large d’Ilulissat, capitale touristique du Groenland. «Ils ont disparu à cause du réchauffement qui fait que le glacier voisin Jakobshavn Isbræ, en se retirant, génère désormais des blocs plus petits.» Flanqué d’un bonnet rouge à la Cousteau, sous sa barbe blanche où perlent des gouttes de café, Thorvald Jensen ne cache pas son désenchantement.

Le vieux marin de 78 ans n’est pas triste pour autant car, pour lui, les affaires marchent mieux que jamais: sur l’Else, son rafiot vermeil, il emmène de plus en plus de tou­ristes admirer ces cathédrales de glace. Beaucoup avouent venir visiter ce décor unique avant qu’il n’ait complètement disparu.

Comme Ilulissat, tout le Groenland suscite depuis peu un attrait touristique croissant. Il s’agit, avec l’accès à des ressources minières inédites rendu lui aussi possible par la fonte des régions arctiques, d’une manne importante pour cette île couverte à presque 80% par la calotte polaire, territoire autonome dépendant du Danemark, qui aspire à une indépendance totale. Un défi aussi, tant l’environnement et la nature, qui constituent aujour­d’hui le pôle d’attrait principal, doivent être gérés au mieux en parallèle à l’exploitation de ces richesses du sous-sol, sous peine de voir la source touristique se tarir.

Pour l’heure, et depuis les années 1990, elle ne cesse de gonfler. Entre 1996 et l’an 2000, des Concorde remplis de riches curieux se posaient même sur l’ancienne base américaine de Kangerlussuaq, porte d’entrée aérienne de l’île. «Entre octobre 2011 et septembre 2012, nous avons reçu 78 720 visiteurs d’une nuit au moins, soit 6,9% de plus que la même période précédente», indique au Temps Jens-Erik Kirkegaard, ministre de l’Industrie et des ressources minières, également chargé du tourisme. Sans évoquer les milliers de badauds – 25 000 par an – qui débarquent pour un jour d’un des navires de croisière.

L’envie de devancer les effets ­rapides des changements clima­tiques sur l’environnement cryo­sphérique explique ainsi en grande partie cet engouement pour le Groenland. «Le fait que l’Unesco a placé sur sa liste des sites protégés le fjord de glace ­d’Ilulissat et les icebergs générés par son glacier a contribué à ­mettre cette ville sur la carte du monde, ajoute Jens-Erik Kirkegaard. Le site attire désormais non seulement des touristes, mais aussi des médias, des scientifiques et des politiciens de renom», telle, en 2007, Nancy Pelosi, alors speaker de la Chambre des représentants au Congrès américain, ou Romano Prodi et Angela Merkel, tous ayant estimé utile de s’af­ficher dans ce cadre naturel ­transformé par la hausse des températures de la planète. Ce phé­nomène a même permis à certains acteurs touristiques d’en jouer pour leur publicité. Tel l’Hotel Arctic, à Ilulissat, soit dans une région sans neige en été, qui propose des «nuits en igloo»: ceux-ci sont des dômes de bois et de métal, confortables, avec une vue imprenable sur le fjord au soleil couchant.

«Je suis venu ici parce que c’est l’une des dernières destinations vraiment exotiques de la planète, dit Paolo Valente, un Italien vivant en Grande-Bretagne. Je voulais voir cette nature et cette faune – baleines, ours polaires – décrites comme grandioses dans la presse.» C’est pour en tirer profit que d’autres choisissent le Groenland: l’île regorge de rivières sauvages qui ravissent les pêcheurs, et les rennes ou bÅ“ufs musqués deviennent la cible des chasseurs en mal d’aventures inédites. Un univers que la journaliste Patricia Schultz, dans son livre 1000 lieux à voir avant de mourir, appelle la «frontière ultime». «Le tourisme d’expédition sportive se développe aussi», ajoute le ministre. Enfin, les collines bordant les fjords de la côte ouest constituent, au printemps, un nouvel espace vierge pour les amateurs de randonnées à ski.

Surtout, de nouvelles routes ­aériennes se sont ouvertes. La compagnie Air Greenland a longtemps détenu le monopole des vols d’accès intercontinentaux, depuis Copenhague. Elle est concurrencée depuis peu par Air Iceland, qui propose plusieurs destinations de l’île de glace depuis Reykjavik, hub où arrivent des ­avions en provenance de 11 villes américaines. «C’est un changement majeur, explique Malik Milfeldt, de Visit Greenland, l’office du tourisme étatique. La clientèle nord-américaine va croître, alors que nous accueillions jusqu’ici en priorité Danois et Européens.»

Si les prix des billets intercon­tinentaux vont baisser, ceux des vols locaux, eux, se maintiendront à leur niveau, élevé, Air Greeland gardant ici son hégémonie; l’île ne dispose que de 120 km de routes environ, et les villes et villages sont accessibles uniquement en avion à hélices ou en bateau. C’est là un des aspects qui font dire à tous les observateurs que le tourisme au Groenland, où la très large majorité des biens de consommation à l’exception notoire du poisson sont importés, restera avant tout destiné aux gens aisés.

«Une bonne frange des visiteurs sont des personnes âgées, fortunées», confirme celui qu’on appelle ici Silver, un Italien établi à Ilulissat depuis plusieurs décennies, où il tient une petite agence de visites et d’expéditions. «Avant 1990, les «backpackers» venaient, dormant sous tente. Maintenant, il n’existe plus de camping. Tout est prévu pour des gens qui ont parfois une mobilité réduite, qu’on doit aller chercher à leur hôtel, qui ont les poches pleines.»

Avec de grands gestes, il dit ­regretter que ce type de tourisme facile et luxueux se fasse un peu au détriment de l’histoire et de la culture des lieux: «Ces clients louent un hélicoptère ou un avion pour aller survoler le glacier, mais ne vont pas rendre visite à une famille inuite dans un hameau reculé.» Et de conclure: «Les tour-opérateurs n’ont pas de raison de développer d’autres produits puisqu’ils savent que ce genre de clientèle viendra toujours.»

«C’est vrai, confirme le journaliste danois Martin Breum, grand connaisseur de l’île. Certains visiteurs sont prêts à payer cher parce qu’ils savent que le flot de touristes est restreint au Groenland. La relative inaccessibilité de la région est autant un désavantage qu’un atout, car c’est ce que recherchent certains. C’est un aspect qu’il s’agirait de préserver malgré l’essor touristique.» Ainsi, alors que, à l’époque des paquebots, des milliers de touristes ­accostaient à Ilulissat, ville de 5000 habitants aux maisons bariolées, sont aujourd’hui privi­légiés les navires luxueux de ­quelques centaines de passagers seulement.

Pour Silver, le problème est aussi ailleurs: le déficit d’infra­structures publiques fiables, qui complique ses activités, et surtout l’atonie des autorités à y faire face. «Le port d’Ilulissat est encombré, la jetée trop courte, les bateaux de croisière peuvent à peine accoster. On parle aussi depuis des années d’agrandir l’aéroport. Plus localement, il n’y a que deux toilettes à peine salubres près du site de l’Unesco: c’est inacceptable. Et les autorités, qui palabrent éternellement, ne font rien. Elles ne voient pas les raisons d’investir dans ce domaine, car elles savent que les touristes viendront tout de même. Et que la communauté gagne assez d’argent avec les très hautes taxes prélevées sur la vente d’alcool, le tourisme, la pêche…»

Après une heure de discussion, l’homme, mariée à une femme inuite, se dit paradoxalement content de son sort, et du travail qu’il a, en suffisance. «Davantage de touristes? Cela ne me conviendrait pas. Il y aurait aussi plus d’opérateurs touristiques locaux, comme moi, qui devraient davantage se partager le business… Et le plus gros perdant serait toujours la culture groenlandaise, qui vendrait son âme.»

Le ministre Jens-Erik Kirkegaard le reconnaît: «Géographiquement localisé loin de tout et ayant les infrastructures qu’il a pour la petite population qui est la sienne – 56 000 personnes –, le Groenland restera probablement une destination assez chère offrant des expériences très spéciales. Il est difficile d’imaginer ici un tourisme de masse largement supérieur à ce que notre parc d’hébergements permet actuellement. Cela dit, nous pourrons définitivement accueillir plus de visiteurs en allongeant notre saison touristique et notre capacité d’accueil.»

Reconnaissant ce potentiel économique croissant du tourisme – aujourd’hui, 4% du PIB du pays (2,4 milliards de francs suisses) –, le gouvernement, dirigé depuis mars par une femme inuite, Aleqa Hammond, a établi une stratégie générale de développement pour la période 2012-2015. Le but est, en quatre ans, d’augmenter de 10% le nombre de touristes terrestres et de 5% celui lié aux escales de croisières. «Les objectifs existent, mais les moyens pour les atteindre ne sont pas très clairs», ­estime Martin Breum. Et les investissements réels restent assez rares.

Ce plan mentionne néanmoins la nécessité d’accroître la visibilité de l’offre touristique du pays, et de dynamiser l’image de marque nationale globale du Groenland. C’est la tâche de l’agence nationale Visit Greenland. Cette dernière vient de lancer une nouvelle campagne de publicité, mettant en avant les cinq raisons principales de venir sur l’île: observer les au­rores boréales, expérimenter un traîneau à chien, approcher l’inlandsis, admirer les baleines, et rencontrer la population inuite. «Un concept emprunté à l’Afrique des parcs à safari, où l’on parle des «big five», les cinq animaux à voir absolument [rhinocéros, éléphant, buffle, léopard et lion]. Il fallait que le concept soit mémo­risable facilement, et qu’il donne un sentiment d’aventure», détaille Malik Milfeldt.

La stratégie souligne aussi «la nécessité d’adaptation à des nouveaux scénarios d’accessibilité» des sites touristiques. Autrement dit, l’occasion de reparler des infrastructures lacunaires. «Le gouvernement doit faire face à beaucoup de demandes, tempère Malik Milfeldt. Il n’y a que 20 villes et 60 hameaux sur l’île. Faut-il un nouvel aéroport à Ilulissat, où vivent 5000 personnes? C’est peut-être sensé. Mais les politiciens ­doivent prendre des décisions délicates pour dépenser l’argent public de manière intelligente.» Un principe est toutefois prioritaire aux yeux du gouvernement, soucieux d’égalité sociale: «Que le ­développement touristique du Groen­land profite jusqu’aux villages les plus reculés.»

«Nous nous focalisons sur un développement durable du tourisme, autant sur le plan socio-économique qu’environnemental», assure Jens-Erik Kirkegaard. Un exemple? Une loi passée l’an dernier au parlement, qui propose d’attribuer à des investisseurs privés des concessions ­d’exploitation touristique de zones géographiques précises, toute possession de terrain étant interdite au Groenland. «C’est une excellente idée», commente Jorgen Larsen, qui gère l’agence de tourisme World of Greenland à Kangerlussuaq, rencontré entre deux expéditions en motoneige sur la calotte polaire. Ainsi, un fermier peut demander une telle concession pour être le seul à pouvoir proposer des activités de pêche dans une rivière donnée. «L’idée sous-jacente est que, le gouvernement ne pouvant assumer toutes les tâches de protection de l’environnement, il s’en remette à ceux à qui la concession territoire a été attribuée pour dix ans, explique Jorgen Larsen. C’est en effet dans l’intérêt direct de ces derniers que la région dans laquelle ils pro­posent des activités touristiques soit bien maintenue.» Le concept est actuellement testé dans une ferme du sud du Groenland, et sera étendu en cas de succès.

Parmi les observateurs, aucun ne doute que le gouvernement groenlandais, tout en favorisant le développement du tourisme, fera le nécessaire pour tenter de préserver sa raison d’être: les immenses espaces naturels, la rudesse des paysages, la beauté des fjords. D’autant plus que cet environnement subit les assauts du réchauffement climatique. «Peut-être les visiteurs, en voyant ce qui se passe ici, vont-ils changer leurs habitudes de vie quant à leur consommation d’énergie et leur souci de l’environnement une fois de retour chez eux», espère Malik Milfeldt.

L’image d’Epinal cache une autre réalité. «Il est indéniable que tous les habitants de l’île sont profondément attachés au cadre naturel qui les héberge et les a nourris pendant des milliers d’années, dit Martin Breum. Toutefois, ces gens, qui aspirent légitimement à la modernité, ne voient pas le réchauffement climatique que d’un mauvais Å“il: ils sont aussi attirés par les promesses des fantastiques revenus liés à l’exploitation des ressources naturelles désormais disponibles (pétrole, gaz, métaux rares, etc.), qui va notamment entraîner un trafic maritime accru de ces marchandises. Ils prennent alors conscience qu’une catastrophe naturelle, telle une marée noire, pourrait anéantir l’autre poule aux Å“ufs d’or ciblée, à savoir le tourisme. Le dilemme est profond, et je ne pense pas qu’il pourra être résolu simplement.»

Et là n’est pas le moindre des soucis du gouvernement. Comme ce dernier l’exprime dans sa stratégie touristique, il se montre bien conscient que, dans une société groenlandaise désenchantée et marquée par divers problèmes sociaux (alcoolisme, violences familiales, agressions sexuelles), l’essor du tourisme à long terme dépend aussi d’autres priorités que sont l’éducation et le marché du travail. Or, tout s’imbrique, reprend Martin Breum: «Générer des fonds en provenance du dé­veloppement industriel du pays va faciliter le développement de nouvelles infrastructures touristiques, et aider à créer de nouveaux emplois, le tout si possible en préservant l’environnement.»

Le plan stratégique ambitionne en effet d’augmenter de 5% le nombre de places de travail dans le secteur du tourisme. Outre une infrastructure hôtelière à développer où c’est possible, «il s’agira surtout d’améliorer le domaine des services, dont les Groenlandais n’ont pas une longue tradition puisque les représentants de ce peuple, pendant des siècles, se sont avant tout occupés d’eux-mêmes», détaille, de son côté, Johannes Pedersen. Cet architecte danois est l’un des deux fers de lance du projet qui a animé la Biennale de Venise en 2012. Avec un géo­logue groenlandais, il s’est penché sur les traditions des sociétés inuites et la manière de les faire résonner dans la société d’aujour­d’hui (lire ci-dessous).

L’un de ces modes de vie s’articule autour du mot «Immaqa», qui signifie «peut-être, si la météo le permet…». Pour les anciens, une sorte de sagesse ou de détachement devant les forces de la nature au Groenland. Aujour­d’hui, peut-être une certaine indolence aussi, dont l’architecte souhaiterait voir les Groenlandais se départir: «Les choses se déroulent parfois lentement là-haut. L’économie locale bénéficie des confortables subsides du Danemark. Mais, avec la pêche et l’exploitation minière surtout, le tourisme, si son développement est géré de manière adéquate, est le gage d’une survie à long terme d’un Groenland qui rêve d’indépendance.» Une manière de dire que les habitants de l’«île verte», ainsi baptisée par son décrouvreur viking, Erik Le Rouge, ont leur destin entre leurs mains.

Dans son rapport «The Future of the Arctic», le Club de Rome prédit d’ailleurs en 2012 que, d’ici à cinq ou dix ans, le Groenland sera probablement indépendant, membre de l’OTAN et le plus important producteur d’énergie dans le monde. «C’est le seul peuple autochtone au monde qui acquiert de plus en plus de pouvoir», s’enthousiasme Johannes Pedersen.

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Tags: GroenlandicebergsIlulissattourismeUnesco

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